27 septembre 2018

[VG#20] 30-06-18 Toutes mes trouvailles du moi de Mai 2018.


C'est parti pour ce compte-rendu de tous les vide greniers du mois de Mai que j'ai pu faire. On se retrouve très vite pour le compte rendu de Juin.


Allez Salut à tous et bienvenu pour ce nouveau compte rendu de vide grenier pour toutes mes trouvailles du mois de Mai 2018. Allez, n'attendons pas plus, et enchaînons directement avec mes première trouvailles autour de 1er mai, date hautement importante pour la saison du vide grenier. Pas loin de chez moi, je trouve ce disque de Gino Soccio, OUTLINE, mais je ne m'aperçois pas tout de suite qu'il est déformé, probablement à cause de l'exposition aux fortes chaleur, ou la proximité avec un radiateur, mais le disque présente une très grosse courbe qui soulève le bras du tourne disque et le projette en avant dans un bruit... comment dire, très désagréable... Bref, ni une, ni deux, avec ma chérie aux commandes, on entreprend de redonner une forme plate au disque à l'aide d'un fer à repasser et laissez moi vous dire que ça marche, le disque sous un linge, puis, une fois rendue molle, la matière du disque (qui durcit extrêmement vite) coincé sous une grosse pile 33 tours... Banquo, puisqu'on découvre un album éléctro assez génial, avec, notamment, ce There's a woman, plutôt avant-gardiste, puisque le monsieur est, contrairement à son nom de scène, Canadian. Même si son héritage, comme le dit sa courte bio sur sa fiche discog, est italienne. 
EXTRAIT : there is a woman / GINO SOCCIO
A deux euros, c'est le seul disque de la journéepuisqu'après, les trouvailles du premier mai tournent principalement autour des DVD avec ce coffret NEO PUBLISHING (génial, décidément) obtenu pour trois euro: Italian Western, avec Black Killer de Carlo Croccolo (starring Klaus Kinsky) et Wanted de Giorgio Ferroni avec Giuliano Gemma. Et bam la collection de Feu NEO PUBLISHING qui s'étoffe un peu plus dans le dvdthèque... et puis, ensuite, pour un euro pièce: le Bernard et Bianca de Disney, Mad Max 2, Justin Timberlake au madison square garden, Bob Marley live at the rainbow et Rammstein, avec Völkerball... Non mais matez moi ce coffret de luxe, avec le live, l'album, les bonus... Un euro, les gars, un euro... 

Je passe directement au 8 mai, autre date on ne peu plus importante pour la saison des vide grenier, avec cette fois-ci de vraie trouvaille de collection, et je commence notamment avec cette petite anecdote au sujet de Michel Legrand, puisque je tombe sur un gars qui a deux bacs de disques et qui les fait à deux euros. Avant moi, un autre gars un peu rustre essaie de négocier et m'empêche par la même occasion de voir les disques dans les deux bacs. Je m'impose, avec bonnes manières et grosse formule de politesse. Le contraste semble payer. On embraye sur la discussion, comme quoi je suis Rochelais, que j'avais de la famille à Rochefort, que le film de Jacques Demy est un peu devenu un passage obligé et que, depuis, j'affectionne toutes les bandes originales de Michel Legrand, comme en témoigne mes nombreuses trouvailles dont cet exemplaire des Demoiselle de Rochefort exclusive aux stations de Radio glanée dans les jardins du château de Chambord lors de ce qui m'est apparu comme le plus grand vide grenier que j'ai jamais visité (500 exposant quasiment...). Je lui parle de Mes Parapluie de Cherbourg, mais aussi de la sœur de Legrand, avec son groupe Swingle singers, qu'il a l'air de bien connaître. 
En cherchant dans ses bacs, je trouve plusieurs disques qui m’intéresse, mais comme c'est le début du vide grenier, je veux pas liquder mon budget, alors je me restreint. Je lui prend cet Anthologie (de Marlène à Marylin) puis un enigmatique Café bleu (de la formation The style council) tout en lorgnant un autre Legrand, "Bonjour Paris" mais décidant in extremis de le laisser. Ben vous savez quoi, le mec, le disque, il me l'a offert. J'en reviens toujours pas. Ca fait parti de ces quelques histoires (je me souviens d'un House of the holy qu'on m'avait donné dans le même style d'anecdote...) que je trouve formidable à raconter, tellement, parfois, la gentillesse et les bonnes manières peuvent produire ce genre de comportement. Et pendant ce temps, l'autre bonhomme, toujours entrain d'essayer d'acheter dix disque pour le prix de huit... Quand il a vu que le vendeur me faisait cadeau d'un disque, ça l'a mouché!
Bref, et pour revenir à the Style council, voici un extrait de l'introduction de l'album, The mick 's blessing, un album extrêment eclecctique, varié, ja, pop, electro... A découvrir, vraiement. 
EXTRAIT : THE STYLE COUNCIL/ MICK'sBLESSING
Donc, pour résumé, en un seul stand, 3 disques (trois perles) pour quatre euros. Et ça c'est cool. Du coup, on se dit que ça sent bon pour la suite. Et là, au stand suivant, bingo. 
Pour un euro, je tombe sur le Formidable Rythm and blues (volume 8) dont je possède déjà les trois premiers, chiné ici et là, à des prix assez prohibitif ou dans des états proches de l'Ohio (enfin, dans un état qui nécessite un intense nettoyage... pour ce qui est rattrapable, parce que question rayure...). Bref, je tombe donc sur ce volume huit et j'apprend qu'il y en a douze en tout. Alors Formidable Rythm&Blues, cette série à la triple particularité de non seulement proposé un set de chanson géniale (excusez du peu, mais genre Otis Redding, Percy Sledge, Booker T., Aretha Franklin, etc....), de proposer une face "lente" et une autre "rapide" mais surtout de les proposer dans une sorte d’enchaînement assez novatrice pour l'époque (on parle de fin 60, début 70). Bref, dans une discothèque idéal, on se doit d'avoir les Formidable rythm and blues (y'a aussi une déclinaison avec le Terrible Rythm and blues). LA série constitue l'un des défis à reconstituer! Je garde un oeil dessus... 
Pour un euro également, je tombe sur le double album de la captation de la pièce musicale Evita à Broadway. Perso, j'ai énormément aimé le film de Alan Parker, et découvrir les originales dans un sublime album avec le livret, à ce prix, ça dépasse toute espérance. Et puis, pour un euro également, cet album intitulé "Walking in space" de Jennifer dont je possédais déjà le "Disco"... sauf qu'après m'être penché sérieusement sur l'album, il s'avère que c'est deux fois le même, même si le visuel de celui que je ramène à ce moment là semble davantage correspondre à l'édition original (tandis que l'autre est une espèce de réédition qui en oublie même son titre original...). 
Allez encore deux derniers disque pour cette session de vide grenier, au prix limite limite (je dépasse rarement les deux euros, sauf cas majeur) de trois euros par disques avec, tout d'abord, ce Stanley Clarck, bassiste de légende,avec cet album éponyme de 1974, dont la face 2 est un ong morceau divisé en plusieurs pièces et intitulé Life suite. 
EXTRAIT STANLEY CLARCK LIFE SUITE 2.
Il faut quand même que je prenne deux secondes pour vous montrer les remerciements de l'album parce que là, en effet, il se passe quelque chose de... comment dire... quequechose de louche. Là.. tout en bas, regardez.... Et non, vous ne rêver pas, c'est bien le Ron L. Hubbard, papa de la scientologie, auquel s'adresse directement le musicien avec cet album... Stanley Clarck, scientologue... fuck! ben là alors, je tombe sur le cul. Ca veut dire que quand tu vois un morceau intitulé Vulcan Princess, c'est du premier degré? 
Allez, on enchaîne pour finir les disque de cette session avec le sister sledge, WE are family, cultissime, avec en ouverture un de mes morceau préféré du genre, le genialissime Greatest dancer. 
EXTRAIT SISTER SLEDGE GREATEST DANCER 
Reste plus qu'un DVD de Kylie Minogue live in Sydney pour 1e, une boite TINTIN métallique pour ma chérie à 0,45cts (pour aller avec l'autre qu'on possédait déjà) et une voiture playmobile de police pour mon fils (5 euros, ça tape quand même mais les playmobile c'est du gratin dans les jouets de vide grenier à tel point que y'en a qui s'en sont spécialisé pour la revente) et voilà, ça en est finit de ce compte rendu plutôt maigre, en vue des dates importantes auxquelles ils se sont déroulés, mais bon, entre un budget qui se ressert et un temps libre qui ne suit pas toujours... Voilà ce que j'ai pu trouver et ça me paraît déjà. 
On se retrouve très bientôt sur la chaîne et le blog pour un autre compte rendu de vide grenier, celui de juin, qui s'annonce plutôt court mais pas trop mal non plus!
D'ici là, diggez bien et prenez soin de vous. 

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