Deuxième des trois nouveaux rendez-vous de la chaîne, voici la nouvelle formule pour parler cinéma... Une formule sans concept, réellement, sans fondements, sans sérieux,
sans formule choc... Sans prise de tête. Et surtout, sans le soucis de l'actualité.
sans formule choc... Sans prise de tête. Et surtout, sans le soucis de l'actualité.
"- Ah oui, et aussi, j'ai enfin regardé Patlabor de Mamoru Oshii. C'est mortel. Si tu cherches un dessin animée avec des gros robots et des putains de scènes d'action, ben tu vas être déçu. Par contre, si t'a aimé Ghost in the shell pour le côté contemplatif, introspectif, ben là tu va kiffer.T'a plein de petits détails sur les décors et le contexte qui passent par la description et le non-dit. Dans le film, y'a un gars, une espèce de prophète de l'apocalypse, qui disparaît au début du film et t'apprends qu'il est à l'origine d'une mise à jour des labors, ces espèces de véhicules bipèdes géants qui servent essentiellement à la construction de structures gigantesques. Cette mise à jour provoque un dysfonctionnement en série des labors, les rendant autonomes, les transformant en fait en véritables robots. Le film, essentiellement, suis une une sorte d'équipe de pilotes para-militaires qui essaient de résoudre le problème. Ils réfléchissent, déduisent, avancent petit à petit, lentement, travaillent à l'échelle du pays avant de se rendre compte que la menace du virus, à travers la maudite mise à jour, touche la planète tout entière.
Ce qu'ils découvrent, à la toute fin du film, est à la fois complexe et incroyable.
Des deux choses que je retiens du film, pour l'instant, c'est cette fabuleuse idée du détective privé, embauché par l'équipe pour suivre sa propre piste parallèle, et qui découvre que le fou qui a disparu dans l'ouverture du film possédait plusieurs propriété. Et tandis qu'il remontent le fil de ces propriété vide, on découvre silencieusement une série de paysage montrant le vieux japon à la lisère de la mégalopole, en travaux, devenant par endroit une décharge, comme un passé, un vestige entrain d'être engloutie dans la modernité au moment même où l'on pose notre regard sur lui. Finalement, au bout de son cheminement, ce détective, veste sur l'épaule et cigarette au coin de la bouche (oldschool on pourrait dire, ce serait approprié dans l'idée que le personnage est à l'ancienne, anachronique) fait sa propre découverte, sa propre déduction concernant l'enquête en cours. Ce qu'il en ressort est bouleversant.
L'autre chose que je retiens du film, immédiatement, c'est cette vision apocalyptique qui attend les protagonistes principaux dans le dernier segment du film, mais je me tais, je préfère te laisser découvrir....
Ce qu'ils découvrent, à la toute fin du film, est à la fois complexe et incroyable.
Des deux choses que je retiens du film, pour l'instant, c'est cette fabuleuse idée du détective privé, embauché par l'équipe pour suivre sa propre piste parallèle, et qui découvre que le fou qui a disparu dans l'ouverture du film possédait plusieurs propriété. Et tandis qu'il remontent le fil de ces propriété vide, on découvre silencieusement une série de paysage montrant le vieux japon à la lisère de la mégalopole, en travaux, devenant par endroit une décharge, comme un passé, un vestige entrain d'être engloutie dans la modernité au moment même où l'on pose notre regard sur lui. Finalement, au bout de son cheminement, ce détective, veste sur l'épaule et cigarette au coin de la bouche (oldschool on pourrait dire, ce serait approprié dans l'idée que le personnage est à l'ancienne, anachronique) fait sa propre découverte, sa propre déduction concernant l'enquête en cours. Ce qu'il en ressort est bouleversant.
L'autre chose que je retiens du film, immédiatement, c'est cette vision apocalyptique qui attend les protagonistes principaux dans le dernier segment du film, mais je me tais, je préfère te laisser découvrir....
Bon, et toi, t'a regardé quoi?
- Pacific Rim.
- Bon, va vraiment falloir que je le trouve, ce nouveau concept, pour parler de cinéma. "
- Pacific Rim.
- Bon, va vraiment falloir que je le trouve, ce nouveau concept, pour parler de cinéma. "