Mayhem, de Joe lynch, est aussi vite vu qu'oublié. Rien de vraiment ludique dans cette redite involontaire du Belko Experiment.
Un virus oblige les infecté à hurle leur frustration, à l'évacuer. On y crie, on y tue. Un improbable scénario de vengeance puéril vient structurer la narration du film autour de l'idée d’ascension, d'étage en étage. Juste retour du jeu vidéo, lui-même bouleversé par le MacTiernam des années 80's. Finalement, tout est bien qui châtie bien. La sosie débraillée du Suicide Squad fini par s'amouracher du frêle livreur de pizza de Walking Dead. La devise: mort aux cons. Petite pichnette scénaristique martelé du début à la fin: les assassins sont blancs comme neige. Un sourire plutôt cynique qu'amoureux pour clore l'histoire. Beaucoup de "grabuge" pour rien.
MAHYEM: imdb
Fraîchement
remercié par ses employeurs, un col blanc prépare son départ en ruminant
sa rancœur. Au même moment, un mystérieux virus éclate, transformant
chacun des membres de la firme en infecté assoiffé de sang...
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